Ce qu'on dit de toi, est que tu es quelqu'un de calme, impassible. Tu confirmerais ses paroles si tu étais d'accord avec. Car ce n'est pas le cas, tu doute constamment de toi, tu ne sais jamais si le choix que je ferras sera le bon. La vie n'a pas été facile avec toi, alors, tu relativise, tu te souvient parfois de ton ancien amour, en te disant que elle à toujours cru en elle, alors pourquoi pas toi ? Tu te souviens de bien des jugements qui étaient tient, et ce qu'il on coûté, à chaque fois, car au fil du temps, tu as appris que, chaque acte, avait les conséquences qui lui était attribuées. On peut dire de ton caractère, que tu réfléchi beaucoup avant de te prononcer, et que ce n'est pas ta sagesse qui t'a forgée, mais ta patience.

Ton attitude envers les autres, n'est pas différentes de celle que chefs actuels. Tu montre le respect, et l'impassibilité, le calme, avant la tempête. Tu sait crier, tu sait gronder, mais tu ne le fais pas, ce n'est pas toi. TU fait preuve d'empathie envers les plus jeunes, tu ne vas pas les gronder, mais leur expliquer calmement. Tu veut qu'il voient que leur erreur est grave, mais que tout le monde est passé par là, que ce n'est pas si important, mais qu'il ne faut pas recommencer. Pour les plus âgées, tu seras plus ferme, et plus froid, eux ont passé l'âge de insouciance, et sont capables par eux même de réfléchir à leurs acte, et ne pas se faire avoir pas le tentation. Si il s'agit d'un chef, tu seras cette fois ci, sans pitié. Eux sont bien capables de raisonner, et digne d'assumer leur erreur.. volontaires. Car cette fois si, cela ne seras jamais accidentel.

Enfin, quand tu ne seras plus le chef, mais le père, le frère, l'ai, tu opteras pour plus de joie. Tu sortiras de ce regard de marbre, de se sourire constant, de cette peau qui n'est qu'une partie reniée de toi. Oui, avec eux, ils verront ta loyauté, tu ne les laisseras jamais, même si tu doit en payer de ta vie. Il verront ton honnêteté, qu'elle fasse mal ou non, il seront toujours qu tu ne leur ment pas. Mais aussi, il verront ta générosité, quand tu sacrifieras ton gibier pour eux. Et si jamais il doivent douter, ils verront ta bonté, car même si tu vois un adversaires à terre, tu ne le laisseras pas agoniser, ce n'est pas humain, même pas digne d'un chat qui a reçu la bénédiction de ses ancêtres. Alors, quand enfin il te connaîtrons mieux, ils te verront rire, et leur donner cette joie, qui se répand aussi vite qu'elle naît. C'est cette magie que tu veut donner à tes amis.

Tu est d'une couleur que beaucoup de chat arbore, le blanc. Ton pelage immaculé, est pour toi une malédiction. Tu arpentes la forêt  sans mal avec tes pattes agiles, mais ton pelage si un bruit tu venais à faire, te trahiras. Seul l'hiver seras ton ami, et cette saison, tu ne peut que la haïr ! Tu as beau être agiles, et avoir des épaules puissantes, tu ne pourras jamais être comme les guerriers au pelage si simple à cacher. Tu les envies, comme tu les méprises, si ils s'en vante trop. Mais, heureusement, les étoiles t'on fait fort, pour que tu puisse attraper une proie rapidement et à chaque fois. Même si parfois, hélas, la chance s'échappe, pour te rappeler que la force ne suffit pas. La perfection n'existent pas, et tu espère que si tu est ainsi, c'est pour une bonne raison.

Ton attitude en marche,e st différentes de celle qui te sert pour instaurer le respect. Tu avances, toujours le pelage le plus haut possible, tu essaye constamment de te grandir pour ne pas que tu fasse du bruit. Avec un tel poils, il ne faut pas que le moindre bruit empiète sur ton efficacité. Imaginez un chef incapable de chasser ses propres proies ! Sinon, tu garderas ta tête alignée avec ton dos, toujours. C'est ainsi qu'on te reconnait, au delà de tes yeux bleus, familier chez le chats de ton espèces. Tu sait te faire différencier, quand il le faut. Mais alors, ton pelage, est devenu un atout, à qui ne sait pas reconnaître ton odeur, tu est une véritable danger.

Pour terminer, on remarque brièvement que ton corps est allongé. Comme pour avoir de la force, il faut des bonnes pattes, les tiennent sont de taille convenable et massivee tout comme tes épaules. Ta queue est étrangement longue, mais rien de bien différent, encore, avec les autres. T es oreilles, touffues, et j'en passe, sur tes yeux. Tu leur ressemble, mais tu n'est pas eux.

Tout ce englobe ton enfance, tu ne sais rien. EN réalité, tu te souviens de ce jour où un apprentis, c'était échappé du camp. Il fallait aller le chercher ! Car il avait emporté un chaton avec lui. Avec pour seul compagnon ton fidèle ami Flamme Mortelle, tu est partis du camp, loin de te douter que tu ne le reverrais plus jamais de la même façon. Il vous as fallu quelques minutes avant de retrouver la traces des deux fuyards.. qui se dirigeait vers le ravin. Tu sentais l'odeur de renard aussi, mais dissipé, et tu as compris. Il sont partis vers le gouffre en croyant que le rend, était toujours présent. Bientôt des plaintes déchirantes percèrent le ciel, et ton coeur était serre. Un des deux venait de tomber, les yeux fermés, tu continuais ta course. Il fallait sauver l'autre. Arrivé sur les lieux, ton ami te demanda de sauver le chaton, pendant qu'il prévenait la patrouille du guérisseur que l'on avait retrouvée les deux chenapans. Ou du moins, le dernière chenapan. Alors que tu approchait, le petit criait et finit par lâcher prise, tu as tenté de le sauver mais... tu as plongé avec lui. Alors que ton corps tombait lourdement dans l'eau... toute ta vie s’effaçait dans ton cerveau, ne gardant pour seul souvenir que cet événement... Car quand tu ouvris les yeux, au camp, la seule choses dont tu te souvenais, était les corps des deux chatons, et toi qui avait voulu les sauver.

Peu de temps après, alors que tes rêves étais hantés par des bribes de souvenirs, confus et si réel, tu as fait la connaissance de ton nouveau chef. Etoile Rousse, une chatte rousse insupportable, et froide comme la pierre. Vous deux, ça avait mal commencé, mais à force, tu as découvert qu'elle avait perdu sa famille et son ancien amoureux, car pas jalousie, un guerrier à tué ses proches le jour se son baptême de lieutenant. Tu voulais la taquiner, et chaque jour tu lui faisait des farces, et au fil du temps, ce qui était un jeu, et devenu plus important encore. Tu l'aimait. Et elle a fait de toi un lieutenant. Mais si tu est chef, c'est qu'elle est morte.

Alors que le mal blanc venait te faucher, elle s'invitais dans ta tanière, et chaque jour, venait te réchauffer, jusqu’à ce quelle tombe aussi malade, elle ne concevais plus sa vie sans toi. Et malheureusement, elle mourus avant toi. Car toi, peu après, tu as réussi à te rétablir. Mais elle, affaiblies par les temps, est morte. Ainsi, tu est devenu chef, la tristesse dans les yeux.